Publications
Annuaire des arts-thérapeutes certifiés R.N.C.P
https://www.wmaker.net/atcertif/CAULI-Francis_a22.html
Guide de sécurité Internet pour les personnes atteintes de TSA.
https://fr.wizcase.com/blog/spectre-autistique-guide-de-securite
Info service autisme
https://www.autismeinfoservice.fr/
LE PETIT PRINCE CANNIBALE – Françoise Lefèvre
https://www.francetvinfo.fr/societe/education/video-hugo-enfant-autiste-devenu-adulte-et-autonome-grace-au-combat-de-sa-mere_567405.html
Historique
Si l’on mentionne parfois le nom du marquis de Sade comme précurseur de la méthode – en raison des spectacles qu’il dirigeait, vers 1800, à l’asile de Charenton et qui attiraient le Tout-Paris avide de voir des aliénés en représentation –, on attribue plus sérieusement l’origine de l’art-thérapie au peintre anglais, Adrian Hill, qui en fit le premier l’expérience en 1940.
Tuberculeux et placé en sanatorium, il entreprit, durant sa convalescence, d’entamer une flânerie sur papier qui, au grand étonnement des médecins, lui octroya un rétablissement rapide. « Lorsqu’il est satisfait, l’esprit créateur […] favorisera la guérison au cœur du malade », écrivit-il. Intéressée par cette approche, la Croix-Rouge britannique l’utilisa avec ses patients. En 1950, les premiers programmes de formation en art-thérapie virent le jour aux Etats-Unis.
En France, il fallut attendre 1986, malgré une pratique bien antérieure, pour que le concept soit enfin reconnu par la communauté scientifique au cours d’un congrès international.
Formations en Art-Thérapie, s’y retrouver !
https://anne-lemaire.fr/formations-en-art-therapie-sy-retrouver/
Autisme ? une solution pas un problème.
L’art-thérapie un processus plus qu’une méthode.
« C’est en utilisant une matière telle que le toucher, la vue, l’odorat, l’ouïe que l’enfant sera à même de faire avec ses capacités ouvrant au champ des possibles : relationnels, émotionnels, sensoriels. C’est-à-dire, au fait même d’exister. En art-thérapie, dans le « processus créatif », va se jouer la rencontre avec la matière et l’art-thérapeute. C’est donc dans cet (co-construction) que l’enfant pourra oser avoir le désir de dire, s’il veut, avec ou sans la verbalisation ce qui lui parlera. Contrairement à l’apprentissage d’une technique, c’est permettre l’expression à prendre sa parole autrement que par les mots. Pour une libération singulière, il est souhaité de créer des conditions favorables. Un espace dédié à l’abri des regards, neutre où l’enfant « autiste » pourra s’exprimer par la peinture, la barbotine, toute matière sensorielle qui lui procurera un exutoire dans un bain langagier non verbal. Pour aller plus loin en matière de recherche, le terme d’« autisme », provenant du grec « soi-même » est un trouble du spectre autistique (T.S.A). Face à ce soi, l’art-thérapie peut le relier autrement. Il ne s’agit pas de faire ressurgir ce trouble, mais de remettre en mouvement, sur le fil créatif, ce que le troublant à quelque chose à dire. On peut dire que l’autisme baigne dans un langage poétiquement singulier. Le travail en art-thérapie est en quelque sorte, dans la recherche, à réactiver un processus de transformation, c’est-à-dire : réenclencher le fil de l’histoire « en train » de se jouer ».
Francis CAULI artiste thérapeute – Art-thérapeute
https://www.youtube.com/watch?v=s9AOn0rNDOQ&feature=emb_logo
La cause de l’autisme – Jean-Pierre Royol Psychologue Clinicien art-thérapeute